mercredi 24 décembre 2008

L'Axe Du Mal.

Démonstration de l'échec total des États Unis à gérer quoique que ce soit du point de vue capitaliste, profits et gains. Intérêts et croissance est leur seul mot d'ordre.

VIVE LA CENSURE !
Plus de 200 vidéos supprimées par Dailymotion sur le compte Face occulte de nos Etats.







dimanche 21 décembre 2008

Network, le film.

Démontre bien le pouvoir des médias dans toutes les sphères de notre société. NETWORK. Un seul clip qui réunit les 3 parties les plus importantes du film.

Vidéo en français.

Dans la première partie, le héros dénonce le chaos social, dans la deuxième partie, il expose le pouvoir des médias mais dans la 3e partie, il se fait récupérer par le grand vizir de l'emporium financier qui lui donne un vrai aperçu de la situation dans le monde.


dimanche 14 décembre 2008

Global Warming Hoax, une imposture planifiée en 1961.

Al Gore est poursuivi en justice par 30.000 scientifiques pour fraude :



Le projet sort de l'ombre (en anglais) :

lundi 3 novembre 2008

Chine-USA, «une guerre sans limite»

Tout comme le 20e siècle fut celui du nucléaire, celui du 21e est celui de la guerre des ondes et de la cybernétique.

Documentaire (en français) :


lundi 20 octobre 2008

Tout savoir sur Echelon.

Echelon est un nom de code utilisé pendant de nombreuses années par les services de renseignements des États-Unis pour désigner une base d'interception des satellites commerciaux. Par extension, le Réseau Echelon désigne le système mondial d'interception des communications privées et publiques (SIGINT), élaboré par les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande dans le cadre du traité UKUSA.


Stations d'interception du Réseau Echelon situées à Menwith Hill (Royaume-Uni).

Le réseau Echelon est géré conjointement par les services de renseignements des États membres du UKUSA :

- la NSA (National Security Agency) pour les États-Unis qui en est le principal contributeur et utilisateur ;

- le GCHQ (Government Communications Headquarter) pour le Royaume-Uni ;

- le CST (Centre de la sécurité des télécommunications) pour le Canada ;

- la DSD (Defense Signals Directorate) pour l'Australie ;

- le GCSB (Government Communications Security Bureau) pour la Nouvelle-Zélande.

C’est un réseau global, appuyé par des satellites artificiels, de vastes bases d’écoutes situées aux États-Unis, au Canada (à Leitrim), au Royaume-Uni (à Morwenstow), en Australie (à Pine Gap) et en Nouvelle-Zélande (à Waihopai), des petites stations d'interception dans les ambassades, et le sous-marin de classe Seawolf USS Jimmy Carter, entré en service en 2005 pour écouter les câbles sous-marins de télécommunications.

Il intercepte les télécopies, les communications téléphoniques, les courriels et, grâce à un puissant réseau d’ordinateurs, est capable de trier en fonction de certains termes les communications écrites et, à partir de l’intonation de la voix, les communications orales.

Bien que plusieurs autres pays aient mis en place des systèmes similaires, comme le système surnommé Frenchelon en France, il reste aujourd’hui le plus puissant des systèmes d'écoute.

Ces réseaux peuvent être utilisés pour des actions militaires, politiques ou commerciales. Il aurait été utilisé pour faire gagner des contrats à des compagnies américaines, face à ses concurrents, comme Boeing contre Airbus.

Sur la base du Yorkshire au Royaume-Uni, la plus grosse hors des États-Unis, 2 000 personnes y travaillent, dont 1 500 Américains. Les militantes du Women Peace Camp sont entrées plusieurs fois dans cette base, ont volé des documents et ont diffusé des informations au sujet d'Echelon.

Toutes les informations récoltées par le réseau Echelon sont analysées au quartier général de la NSA à Fort George G. Meade (Maryland, États-Unis).

Documentaire sur Echelon (en français)

jeudi 16 octobre 2008

Un hacker extradé aux US pour avoir piraté la NASA.

Le pirate anglais Gary McKinnon, aussi connu sous le nom de Solo. En dépit des efforts de la Cour européenne des droits de l'homme et de son avocate, qui ont mis en avant le syndrome d'Asperger dont il souffre. Il va comparaitre face à la cour de Virginie pour ce que la justice américaine qualifie de « plus gros piratage d'ordinateurs militaires de tous les temps ».


Solo est accusé d'avoir infiltré et endommagé des dizaines d'ordinateurs de l'armée, de la marine, de l'armée de l'air, du Pentagone et de la NASA. Le gouvernement américain indique qu'en rendant inopérant certains équipements militaires peu de temps après le 11 septembre 2001, ce piratage a couté 700 000 dollars. Il aurait par ailleurs causé le dysfonctionnement d'un réseau informatique à Washington, coupant l'accès à Internet et aux e-mails pendant 3 jours, pour une perte estimée par le gouvernement d'environ 900 000 dollars.

Le pirate se défend quant à lui en expliquant qu'il cherchait seulement à établir l'existence d'extra-terrestres. Il prétend par ailleurs que l'armée américaine s'est procuré une technologie extra-terrestre et que les dommages infligés aux ordinateurs américains sont du ressort de l'armée qui aurait voulu supprimer des preuves.

Il encourt plusieurs dizaines d'années d'emprisonnement. Son avocate craint que la justice américaine en fasse un exemple, estimant que la justice britannique ne l'aurait quant à elle condamné qu'à 3 ou 4 années de prison.

Gary s'est confié à Spencer Kelly, présentateur de "Clic" sur la BBC, pour raconter son histoire, avant son audition d'extradition le mercredi 10 mai.

Spencer Kelly : Vous êtes accusé d'avoir pénétré les réseaux de l'armée, la Marine, l'Armée de l'Air, le département de la Défense, et la NASA, entre autres choses. Pourquoi ?

Gary McKinnon : J'étais à la recherche d'éléments d'une technologie qu'on laisse au placard, désignée par moquerie sous le nom de technologie Ovni. Je pense que c'est le secret le mieux gardé au monde en raison de sa charge de dérision, mais c'est une chose très importante. Les retraités ne peuvent pas payer leurs factures de carburant, des pays sont envahis pour que des nations occidentales s'attribuent des contrats pétroliers, et pendant ce temps des membres du gouvernement secret dissimulent des technologies concernant l'énergie libre.

SK : Comment avez-vous procédé pour trouver ce que vous recherchiez dans les ordinateurs de la NASA, ou du Département de la Défense ?

GM : Contrairement à ce que la presse aimerait vous faire croire, ce n'était pas si difficile. J'ai recherché des mots de passe en blanc, j'ai écrit un tout petit script en langage Perl qui reliait d'autres programmes de recherche de mots de passe en blanc, ainsi vous pouvez interroger 65.000 machines en moins de huit minutes.

SK : Vous dites avoir ouvert des ordinateurs ayant un statut supposé de haute protection, correspondant à un haut niveau de responsabilités, sur lesquels personne n'avait institué de mot de passe ? Qui n'avaient que le mot de passe par défaut ?

GM : Oui, c'est bien ça. Un rapport officiel américain a encore récemment publié un rapport dénonçant le très très bas niveau de sécurité fédérale.

SK : Pendant combien de temps avez-vous fouillé ? Une semaine ?

GM : Non, pendant deux ans.

SK : Et vous êtes passés inaperçu pendant cette période ?

GM : Oui. Je faisais attention aux heures. Je jonglais avec les fuseaux horaires. La nuit il n'y a pas beaucoup de gens devant les machines. Mais une fois un ingénieur-réseau m'a vu et nous avons dialogué sur WordPad, ce qui était très, très étrange. Il a demandé : « Qu'est-ce que vous faites ici ? » ce qui m'a surpris. J'ai répondu que je faisais partie de la Sécurité Militaire informatique, et ça l'a totalement convaincu.

SK : Avez-vous trouvé ce que vous recherchiez ?

GM : J'ai observé un genre de vaisseau ou de satellite, mais construit par des moyens que je n'avais jamais vus auparavant. Il n'y avait pas de rivet, pas de soudure, ça avait l'air construit d'une seule pièce.

SK : Qu'avez-vous trouvé à la NASA ?

GM : Une des personnes était un expert photographique de la NASA, et elle a dit que dans le bâtiment 8 du Centre Spatial Johnson ils passent leur temps à retoucher les images satellite à haute résolution pour effacer les ovnis : ils ont des dossiers nommés «filtrées» et «non-filtrées», «à traiter» et «brutes». J'ai sorti une image d'un de ces dossiers, mais je ne disposais que d'une connexion téléphonique très lente, à 56K, et, en utilisant une commande à distance j'ai dégradé l'information de couleurs à 4bit avec une résolution d'écran vraiment très basse, mais l'image s'affichait toujours par saccades. Et ce qui est apparu sur mon écran était étonnant. C'était le point culminant de tous mes efforts. C'était une image de quelque chose qui n'était certainement pas synthétique. Ca se trouvait au-dessus de l'hémisphère terrestre. Un genre de satellite. En forme de cigare avec des dômes géodésiques au-dessus, en-dessous, vers la gauche, la droite et à ses extrêmités, et bien que ce soit une image de basse résolution ça apparaissait bien défini. Cette chose flottait dans l'espace, avec l'hémisphère terrestre bien visible en-dessous, et sans rivets, ni soudures, rien qui ait l'aspect de nos constructions habituelles.

SK : Est-il possible que ce soit une représentation artistique ?

GM : Je ne sais pas. Pour moi, c'était plus qu'une coïncidence. Une femme m'avait dit : "C'est ce qu'on peut voir, dans ce bâtiment, dans ce Centre Spatial". J'ai pénétré dans ce bâtiment, et c'est exactement ce que j'ai vu.

SK : Avez-vous une copie de ce document ? Elle a été capturée sur votre machine...

GM : Non, la visionneuse à distance affiche image par image. C'est une application Java, donc on ne peut rien sauver sur son disque dur, ou du moins seulement une image à la fois.

SK : Ainsi vous avez obtenu au moins une image ?

GM : Non.

SK : Que s'est-il produit ?

GM : Quand j'ai été coupé, l'image a juste disparu. J'ai été coupé pendant que je téléchargeais l'image.

SK : Quelle serait la punition appropriée pour quelqu'un comme vous ?

GM : Premièrement, en raison de ce que je recherchais, je pense que j'étais moralement correct. Bien que je le regrette maintenant, je pense que la technologie d'énergie libre devrait être publiquement divulguée. Je veux être jugé dans mon propre pays, pour intrusion informatique, et je veux que les Américains fournissent la preuve avant de m'extrader, parce que je sais il n'y a aucune preuve d'un quelconque dommage.

La NASA a déclaré à "Clic" qu'elle n'entendait pas discuter des questions de sécurité informatique ou des problèmes légaux. Elle a nié avoir jamais trafiqué des images dans le but de tromper et déclaré qu'elle avait une politique d'ouverture et de totale divulgation, ajoutant ne détenir aucune preuve directe de la vie extraterrestre.

jeudi 9 octobre 2008

Des sources de la FEMA confirment le projet de loi martiale.

Des milliers de soldats sont déployés à travers les Etats-Unis, prêts à assumer le contrôle des foules.

WMR, Wayne Madsen, 8 octobre 2008


WMR a appris de sources bien informées de la Federal Emergency Management Agency (FEMA) que l'administration Bush met la touche finale à un projet qui envisagerait la déclaration de la loi martiale aux États-Unis en fonction de divers scénarios considérés comme des déclencheurs. Ces déclencheurs incluent la poursuite de l’effondrement économique avec d’énormes troubles sociaux, la fermeture de banques entraînant des violences contre les institutions financières, et une nouvelle élection présidentielle frauduleuse, dont pourraient résulter des émeutes dans les grandes villes et sur les campus des quatre coins du pays.

En outre, des sources du Army Corps of Engineer indiquent que l'affectation de la 1st Brigade Combat Team (BCT) de la 3rd Infantry Division au US Army North du Northern Command a pour but de renforcer la FEMA et les forces fédérales de maintien de l’ordre, dans l’imposition de contrôles routiers et des foules, de couvre-feux, du renforcement de la sécurité aux frontières et dans les ports, et des patrouilles d’îlotage dans l'éventualité où la situation d'urgence nationale serait déclarée. La BCT était en service en Iraq, avant d'être affectée au Northern Command.

Le 3 avril 2008, WMR faisait état d'un document hautement confidentiel concernant le scénario de loi martiale :

WMR a appris de sources bien informées au sein de la communauté financière étasunienne, qu’un document confidentiel alarmant à diffusion restreinte circule parmi les membres supérieurs du Congrès et les hauts fonctionnaires de leurs équipes. C’est le signe d'un avenir sombre pour les États-Unis s’ils ne remettent pas rapidement de l’ordre dans leurs finances. Nancy Pelosi, la présidente de la Chambre, est de ceux qui auraient lu ce document. Ce papier est appelé document « C & R » car il déclarerait que, si les États-Unis défaillaient dans le remboursement de la dette garantie à la Chine, Japon et Russie, qui soutiennent toutes financièrement le gouvernement des États-Unis, et si ces derniers annulaient unilatéralement ses dettes, on pourrait s'attendre à une guerre qui aurait des conséquences désastreuses pour les États-Unis et le monde. Le « C » dans le nom du document représente le mot « Conflit. » Un autre scénario envisage que, pour rembourser la dette envers les pays étrangers, le gouvernement fédéral sera forcé d’augmenter les impôts de manière drastique, au point que le peuple étasunien réagisse par une révolution populaire contre le gouvernement. Le « R » dans le nom du document représente le mot « Révolution. »



jeudi 11 septembre 2008

Le programme qu'aucune télévision occidentale ne peut se permettre de diffuser.


La première chaine de télévision russe (celle avec la plus forte audience dans le pays), diffusera le vendredi (c’est-à-dire la soirée la plus regardée de la semaine), en première partie de soirée (donc à l’heure de plus grande écoute), le documentaire de Giulietto Chiesa : Zéro, enquête sur le 11-Septembre.

Cette projection sera suivie d’un débat. Giulietto Chiesa (deputé européen), le général Leonid Ivashov (ancien chef d’état-major des forces armées de la Fédération de Russie) et Thierry Meyssan (président d’Axis for Peace) exposeront leurs doutes sur la version des événements telle que l’a présentée le président Bush et que médias des Etats membres de l’OTAN.

Ils seront interrogés par dix experts et par des personnalités présentes dans le public.

Alors que toute pensée critique sur le 11-Septembre est discréditée par les médias des Etats membres de l’OTAN, et que les dissidents sont contraints à s’excuser en public, de plus en plus de médias et de responsables politiques dans le monde reprennent les travaux de Thierry Meyssan et expriment leurs doutes sur la version bushienne des événements.